Renault et Airbus associés pour développer une nouvelle génération de batterie

Les deux grandes entreprises installées dans l’hexagone viennent de signer un accord de partenariat pour travailler de concert à la recherche et au développement d’une prochaine génération de batterie solide mais attention toutefois, l’arrivée de ce type de batterie sur le marché tant automobile qu’aéronautique n’est pas pour demain !

Un accord autour d’un nom qui fait rêver : Batterie Solide

Les deux groupes industriels vont donc travailler ensemble sur la batterie solide dans le cadre d’un programme de mise au point d’une batterie solide performante et adaptable aussi bien au monde de l’aviation qu’au monde du transport terrestre. Nous savons qu’Airbus a lancé un projet de développement d’avions hybrides et Renault voit dans cette future batterie solide une solution pour proposer des véhicules électriques avec de meilleures autonomies pour ses VE avec un moindre encombrement et une capacité énergétique plus élevée puisqu’on parle d’une augmentation comprise entre 30 et 40 %. D’ailleurs, si on en croit le propos de Gilles Le Borgne, le patron de l’ingénierie chez Renault, envisager un trajet Paris-Marseille d’une seule traite, sans une ou deux pauses pour recharger sera envisageable avec ces futures unités de stockage d’énergie électrique. L’idée de faire 1.000 km (comme avec un diesel) est intéressante mais rien ne nous assure que ce sera la réalité dans quelques années.Du coté de l’avionneur, on évoque des futurs avions hybrides qui pourraient décoller grâce à des moteurs électriques… A vérifier dans quelques années.

N’allons pas trop vite !

Ce bel accord bien médiatisé ne porte pour l’instant que sur de la R&D et n’aborde aucunement la partie industrialisation et production. Cet accord surprend aussi par le fait que Nissan, en charge du développement des batteries solides au sein de l’Alliance RNM n’apparait nulle part dans cet accord de coopération. Est-ce à dire que le constructeur japonais est mis de coté ou devons nous penser que Renault court deux lièvres à la fois et « sautera » sur le premier qui sera prêt ? Difficile à dire pour l’instant même si, au regard des dernières négociations en Renault et Nissan, il est facile de se faire une petite idée sur l’affairePour revenir à l’accord Renault/Airbus, sachez que les deux partenaires regarde en direction de la prochaine décennie puisqu’ils ont fait savoir qu’un premier produit solide pourrait être prêts et en capacité d’être fabriqué au plus tôt entre les années 2030 et 2035, c’est à dira au moment de la fin des ICE et des hybrides neufs vendus sur les marchés de l’Union Européenne. Il faudra toutefois que les deux partenaires se bougent rapidement s’ils ne veulent pas se faire griller la priorité car les chinois et les sud coréens annoncent l’arrivée des batteries semi-solides ou solides avant cinq ans. Ceci sans parler des allemands et des américains qui n’ont pas l’intention de rester immobiles.

A suivre… tout comme les constructions des fameuses « super usines » de production de batteries Lithium-ion sur le territoire français.

Via Le Parisien.
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Opel : Voici les Astra Electric et Astra Sports Tourer Electric

L’affaire était attendue et elle se confirme ce jour. Opel dévoile la nouvelle Astra électrique qui sera proposée en série par la marque au blitz dès l’an prochain.Cette Astra Electric qui suit l’Astra GSe et l’Astra Hybride Rechargeable confirme la volonté du constructeur allemand à vouloir aller vers l’électrification complète de sa gamme.

Florian Huettl, le PDG d’Opel, a dit : « L’Astra Electric et l’Astra Sports Tourer Electric sont de véritables pionniers : avec la nouvelle variante électrique à batterie de la cinq portes et du break, les clients bénéficieront d’une adéquation au quotidien alliée au confort, et surtout avec beaucoup d’émissions locales- plaisir de conduite gratuit. C’est ce que nous entendons lorsque nous parlons d’une ‘Greenovation’ raisonnable de la mobilité. En parallèle, nous poursuivons le déploiement de notre offensive d’électrification. La nouvelle Opel Astra Electric est une étape importante sur notre chemin pour devenir une marque entièrement électrique en Europe. »

Jumelle technique de la Peugeot e-308

Si l’Astra Electric surprendra ceux qui pensent qu’Opel rime avec moteur 1.6 L OHC ou 2.2 L CDTi, pour les autres elle n’est en revanche pas une surprise puisque cette nouvelle version de la compacte de Rüsselsheim est la copie technique et même électrique de la Peugeot e-308 dévoilée il y a quelques mois. L’Astra Electric MY2023 reprend le dernier moteur Nidec qui développe 114 kW (156 ch) et 270 Nm. Ce moteur est installé au niveau du train avant. Comme pour les autres modèles de la gamme Astra et la cousine Peugeot 308, cette version 100% électrique repose sur la plateforme EMP2 V3 (empattement de 2.67 m sur la berline et empattement de 2.73 m sur le break). Ce bloc moteur français est alimenté par une batterie composée de 102 cellules logées dans 17 modules d’une capacité maximale brute de 54 kWh. Opel annonce une autonomie pouvant aller à 416 km et une consommation moyenne de 12.7 kWh/100 km ou 14.9 kWh/100 selon la norme WLTP. Pourquoi ces deux valeurs alors que seule WLTP est officiellement prise en compte ? Opel voudrait-il brouiller les pistes et minimser la consommation de son Astra Electric en remettant en selle la norme NEDC dans son communiqué de presse ?Pour ce qui de la recharge de la compacte électrique allemande, on pourra compter sur une puissance de 11 kW en courant alternatif et de 100 kW en courant continu mais toujours pas de possibilité de recharge en 22 kW qui aiderait bien lorsqu’on ne dispose que de bornes publiques dans son environnement continu comme c’est souvent le cas en région et en dehors des grandes villes. Dommage mais cela vaut aussi pour Peugeot et DS Automobiles. Cette Astra toute électrique est équipée de série d’un chargeur embarqué triphasé de 11 kW pour ceux qui disposent d’une wallbox à leur domicile ou dans leur garage.L’Astra Electric offrira trois modes « classiques de conduite », à savoir Eco, Normal et Sport.Opel vante la Vitesse maximale de l’Astra Electric qui est fixée à 170 km/h mais oublie de préciser qu’à partir de 120-130 km/h, la jauge d’énergie baisse à vue d’oeil !

Une Astra presque comme les autres

Opel nous rappelle que les batteries sont pratiquement toutes logées dans le soubassement de la voiture ce qui fait qu’aucun espace pour les passagers et les bagages n’est perdu à l’intérieur, même lorsque les sièges arrière sont en position relevée. Exterieurement, très peu de changement et il ne sera pas facile de distinguer une Astra électrique d’une Astra thermique ou hybride sauf à chercher les logos. Opel annonce toutefois un design de pare-chocs avant plus sportif avec chaque niveau de finition et des roues en alliage en 18 pouces de diamètre en finition diamantée ou entièrement noire livrées de série. A bord pas de changement par rapport aux autres versions puisqu’on retrouve les sièges ergonomiques Active Sport (disponibles en option avec une sellerie en Alcantara), le tableau de bord Pure Panelavec ses deux grands écrans larges de 10 pouces (26.4 cm), le grand affichage tête haute E-HUD, la reconnaissance vocale, le nouveau système Intelli-Drive 2.0 qui regroupe bon nombre d’ADAS et l’éclairage Pixel Light adaptatif Intelli-Lux LED avec 168 éléments LED intégrés dans la nouvelle face avant Vizor.

Cette nouvelle Astra Electric n’est pas encore tarifée et le constructeur ne détaille pas encore les finitions ni la dotation en équipements de série.Le modèle sera proposé à la vente et à la commande dans le courant du printemps 2023 comme… la Peugeot e-308. Y’aura t-il lutte entre les deux compactes du groupe Stellantis ? C’est de l’ordre du possible mais la bataille pourrait être plus rude encore l’an prochain si la Citroën ë-C4 adopte la nouvelle motorisation Nidec 114 kW et si la DS 4 devient électrique.

A suivre en 2023.

Via Opel.
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L’élégance à Megève 2023 : Enfin un concours d’élégance hivernal en France

Dès l’hiver prochain, il ne sera plus nécessaire d’aller en Suisse, en Italie ou en Autriche pour profiter d’un concours d’élégance en altitude au coeur de la froide saison. L’Automobile Club de Megève organise le premier concours d’élégance alpestre en France les 20, 21 et 22 Janvier 2023 dans le cadre de la réputée station de ski.

Présentation du concours  »L’Elégance à Megève »

Ce nouveau concours d’élégance veut rassembler des passionnés de l’automobile et s’assurer qu’ils s’amusent ou se fassent plaisir au volant de belles automobiles tout en profitant d’une expérience qui pourra se révéler inhabituelle pour certains comme, notamment, rouler sur la neige dans un cadre unique ou circuler sur une piste recouverte du fameux revêtement GLICE qui doit reproduire l’effet de la conduite et de la glisse sur glace sans avoir à fabriquer artificiellement celle-ci durant plusieurs jours et en faisant une économie d’énergie notable. Ce sera donc le petit coté « écolo » de ce concours d’élégance mégevan. Ce nouveau concours d’élégance viendra idéalement compléter la saison des concours français comme ceux de Chantilly, Dinard ou La Baule pour ne citer que les plus connus dans l’hexagone.

Pour cette première édition 2023, le concours est ouvert à une cinquantaine de voitures anciennes et modernes. Comme le veut la coutume dans ce genre de manifestation, un jury composé d’experts et de personnes reconnues dans le monde automobile examinera les voitures mais aussi les tenues portées par les pilotes. Ici aussi le fameux « Dress Code » aura son importance et participera à la notation et aura pour thème « Ski 70’s « .Si on en croit l’Automobile Club de Megève, le public aura aussi son rôle à jouer en attribuant des points aux participants et on espère un ambiance conviviale pour tous, c’est à dire les passionnés d’automobiles, les femmes et les familles. Le tout bien évidemment se déroulera avec en toile de fond, la prestigieuse station Haute Savoyarde installée au coeur du massif du Mont Blanc ce qui sous entend quand même du luxe et un petit coté select’ pour ce nouveau concours d’élégance.

Sachez que de belles automobiles sont attendues. On évoque notamment la présence d’au moins une Porsche 550, de plusieurs Bugatti dont une Type 51, de Ferrari dont une 365 GTB/4 « Daytona », d’une Porsche 928 singulière et de bien d’autres belles mécaniques sur roues.Sachez par ailleurs que Jean Todt (ex président de la FIA, ex directeur de la Scuderia Ferrari, ex patron de Peugeot Sport et ex co-pilote de rallye) sera l’invité d’honneur et le parrain de ce nouvel évènement automobile français.

Pour retrouver les fiches d’inscription, l’agenda des 3 journées, les partenaires de ce nouveau concours, vous pouvez aller chercher les éléments en cliquant sur ce lien (ICI).Ce concours peut réussir sa première apparition s’il se conforme aux habitudes et principe du genre et on dira même qu’il le doit s’il veut aller jouer dans la cour des concours renommés comme l’ ICE St. Moritz en Suisse ou le GP Ice Race de Zell am See en Autriche.

Via Elégance à Megève.
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De Tomaso Automobili : La nouvelle P900 s’annonce

Nous vous l’avions dévoilée cette semaine en annonçant une possible arrivée de De Tomaso en WEC en catégorie hypercar. L’affaire s’est confirmée ce week end avec l’annonce officielle d’une date de présentation et quelques images.

Une belle allure et des courbes généreuses

La nouvelle grande sportive de De Tomaso Automobili sera dévoilée mardi 29 novembre 2022. Comme vu il y a quelques jours, cette nouvelle hypercar s’annonce comme une grosse évolution esthétique et mécanique de la très réussie P72 dont les livraisons commenceront dans le courant du second semestre 2023. La De Tomaso reprendra l’architecture et le chassis en fibre de carbone de la P72 adaptés à une configuration « Racecar » avec notamment une partie arrière assez lourdement modifiée avec un aileron aérodynamique tout en rondeur, des feux qui ressemblent à des tuyères montant en puissance et deux impressionnantes sorties d’échappement qui vont permettre au moteur thermique (ou hybride) de cette nouvelle coursière de bien respirer et de faire de belles vocalises.

De belles sorties d’échappement parce le moteur le vaut bien !

Si on se fie on images proposées par De Tomaso en guise de teaser, on découvre que cette nouvelle P900 va délaisser le V8 d’origine Ford pour un tout nouveau bloc V12 ouvert à 60° dont la cylindrée devrait être de 4.8 L (4.785 cm3 exactement) ou peut être 5.0 L avec un régime de puissance qui se situera à 7000 trs/min.Nous n’en savons pas plus pour l’instant et il va falloir patienter encore 48 heures pour découvrir cette nouvelle voiture qui redonne le sourire si tout ce qui est annoncé se confirme.

A suivre mardi 29 novembre 2022 dans la journée.

Via De Tomaso Automobili.
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Suzuki S-Cross : Existe désormais en version Police Municipale

Pour changer des anciens Peugeot 2008 ou des Dacia Duster, Suzuki propose une offre alternative qui est proposée dans le cadre des ventes aux professionnels qui sont un des nouveaux axes de développement du constructeur en France puisqu’elles représentent cette année et pour la première fois, plus d’un cinquième des livraisons de la marque sur le territoire national. Sur les dix premiers mois de l’année 2022, les ventes aux professionnels ont représenté exactement 20.5 % des livraisons de VN de Suzuki France. Ce chiffre dépasse largement l’objectif de 15% fixé par le patron de la marque dans l’Hexagone. Suzuki profite aussi pleinement de l’implantation locale souvent appréciée de ses concessionnaires ainsi que leur implication dans la vie locale.

En 2022, Suzuki France s’est adressé pour la première fois aux polices municipales avec les Jimny VU et Vitara Hybrid. Le constructeur japoonais complète désormais son offre en lançant en cet automne 2022 le S-Cross Hybrid en spécifications Police Municipale.

Né du partenariat avec Jocquin

Le nouveau SUV S-Cross Hybrid Police Municipale a été développé en collaboration avec le carrossier Jocquin installé à Gamaches dans la Somme. On ajoutera que la démarche a été facilité par une collaboration qui existe entre les deux entreprises depuis quelques années puisque Jocquin transforme les Ignis, Swift, Vitara, Swace, Jimny, Across et S-Cross en véhicules dits de Société (véhicules avec 2 places, plancher arrière plat, butée d’arrêt et cache bagages)

Désormais Jocquin équipe le Suzuki S-Cross d’une rampe lumineuse avec 12 feux à led bleus, de deux feux dits « de pénétration » bleus fixés à l’avant, d’un avertisseur de type « Police », d’un micro intérieur relié à un haut-parleur extérieur de 100 Watts, et d’une décoration « Police Municipale » sur les côtés, à l’avant et à l’arrière du SUV.

Le S-Cross « Police Municipale » est proposé avec les deux motorisations hybrides du SUV Suzuki, à savoir le L41.4 L BOOSTERJET HYBRID SHVS 48 Volts 129 ch en BVM6 ou le L4 1.5 L DUALJET HYBRID Auto-Rechargeable 115 ch en BVA6 AGS. Suzuki ne précise toutefois pas si le véhicule est uniquement proposé en version FWD ou si la transmission AWD Allgrip est aussi de la partie.

Référencé dans le cadre des marchés publics, le constructeur précise que les commandes du SUV en spécifications « Police Municipale » sont proposées directement et pas forcément dans le cadre d’appels d’offres. Les premières livraisons sont en cours dans l’Hexagone comme on peut le voir sur les photos qui nous montrent deux S-Cross livrés à la municipalité de Marcheprime en Gironde.

Via Suzuki.
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Car Of The Year 2023 : Ils ne sont plus que 7 véhicules en lice pour le titre

Il y a quelques semaines, avant la première session d’essais, il y avait 45 véhicules lancés dans la course au titre de Voiture de l’Année 2023. Il y avait des françaises, des allemandes, des américaines, des italiennes, des anglaises, des sud coréennes, des japonaises, des chinoises et même des vietnamiennes et il ne reste qu’une allemande, deux françaises, deux japonaises, une américaine et une coréenne dans la compétition.

Qui pour succéder à la Kia EV6 ?

La liste des sept dernières compétitrices pour la distinction de Car Of The Year 2023 (COTY 2023) sont les suivantes :

Jeep Avenger

Kia Niro

Nissan Ariya

Peugeot 408

Renault Austral

Toyota bZ4X

Volkswagen ID.Buzz
Voici les prétendantes en photo.

Jeep AvengerKia Niro Nissan AriyaPeugeot 408Renault Austral
Toyota bZ4XVolkswagen ID.Buzz

C’est donc une de ses sept voitures qui décrochera dans quelques semaines la distinction tant convoitée par les services marketing et communication. S’il est difficile de faire un pronostic précis pour l’instant, quelques bruits de couloir et des rumeurs laissent entendre qu’un van allemand inspiré d’un lointain descendant qui fut la coqueluche des hippies tiendrait la corde malgré une tarification élevée. On constatera enfin qu’il n’y a aucun modèle ICE ou 100% thermique dans ce dernier round avant l’élection et que la Jeep Avenger n’est pas encore sur le marché…

Les résultats de l’élection ne seront pas annoncés au salon de Genève à Doha en novembre 2023 mais au salon de Bruxelles 2023 dont ce sera la 100eme édition et qui se tiendra du 14 au 22 janvier 2023 à Brussels Expo (Heysel). Le rendez vous est donc fixé mi janvier pour découvrir la prochaine voiture de l’année qui succédera à la Kia EV6.

Via COTY.
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ChargeGuru : Après les particuliers, cap est mis sur les entreprises

Né en 2018 sous la forme d’une start up, ChargeGuru a grandi et s’est spécialisée au fils des ans dans le déploiement de solutions de recharge pour véhicules électriques pour les particuliers et les entreprises. Toutefois, jusqu’à cette année, la société ChargeGuru était essentiellement présent dans l’accompagnent et la mise en place de projets de recharge pour les particuliers notamment en proposant des aides et conseil pour la définition du besoin, l’étude technique, le choix et la fourniture du matériel, l’installation, la maintenance technique et les solutions de supervision ou de gestion.En 2022, l’entreprise française accélère et se propose d’accompagner les entreprises dans leur passage à la mobilité électrique en créant l’offre ChargeGuru Business Services.

Un marché du VE et des services dédiés en pleine expansion

Si on en croit un communiqué publié par l’Avere-France et le Ministère de la Transition énergétique, il y a en France au 31 octobre quelques 75.279 bornes de recharge qui sont accessibles au public, ce qui représente une augmentation de plus de 50% en une année. Toujours selon le même communiqué, au 31 octobre il y a désormais plus d’un million de véhicules électrifiés et rechargeables en circulation dans notre pays. Ils sont au nombre exact de 1.025.602 unités réparties comme suit (les hybrides simples sont exclus du décompte) :– 639.673 véhicules électriques – 385.929 véhicules hybrides rechargeables

A l’échelle de la France et de son parc automobile qui se chiffre à environ 41 millions de véhicules, cela représente près de 2.5% du parc total si on prend en compte les VE et les PHEV et environ 1.5% du parc automobile national si on se limite aux VE purs. Ce cap du million véhicules électriques ou électrifiés rechargeables est en accord avec l’objectif que c’était fixé l’état français en 2018 et qui voulait que ce niveau soit passé en 2022.

Toujours selon l’Avere-France, les entreprises qui doivent faire face à de nombreux défis pour s’adapter au développement durable et à la mobilité électrique ont vu croitre leur parc de VE de +355% entre 2019 et 2022 dans l’hexagone en trois ans. L’affaire n’était pas difficile sachant que lesVE et PHEV étaient quasi inexistants sur les parcs jusqu’aux années 2017/2018, époque où le diesel était encore le maitre absolu des flottes d’entreprises.

ChargeGuru veut rester dans le bon tempo et va vers les entreprises

Ce service s’adresse aux entreprises. Il doit leur permettre d’atteindre leurs objectifs en matière de développement durable et de décarbonation de leurs flottes en leur proposant une offre sur-mesure de bornes de recharge.

Grâce à sa connaissance du marché et à son expertise dans le secteur de la recharge rapide, ChargeGuru propose désormais aux professionnels un Package qui comprend en amont l’étude du besoin, la définition de la solution la plus adaptée en fonction de la configuration des sites et des ambitions d’électrification, ainsi que le déploiement et la maintenance de l’infrastructure de recharge.De plus, les entreprises pouront également bénéficier de l’expertise technique et des innovations technologiques du spécialiste de la recharge électrique.En effet, la société ChargeGuru mettra à disposition de ses clients les algorithmes d’analyse de la consommation d’énergie développés par son équipe de R&D afin de déterminer le potentiel de recharge du site, d’optimiser les investissements de de gérer au mieux les systèmes de recharge électrique installés dans leurs entreprises. On pourra voir cette offre comme une aide au gestionnaires de flottes automobiles dans les grandes entreprises.

Avec l’offre ChargeGuru Business Services, les entreprises devraient profiter de la solution de recharge la plus adaptée en fonction de leurs besoins.Ainsi, pour les hôtels ou les restaurants, un filtre de sélection a été créé sur les plateformes de réservation en ligne. On imagine qu’avec cette nouvelle prestation, les rendez vous pour une recharge électrique pourront se faire via des sites comme Booking, TripAdvisor et quelques autre au moment de la réservation d’une chambre, d’un gite ou d’une table. Ce système doit aussi pourvoir fonctionner plus globalement pour les flottes d’entreprise équipées de VE et de PHEV.Pour asseoir la crédibilité de sa nouvelle offre CGBS*, ChargeGuru fait savoir qu’il accompagne désormais plusieurs entreprises connues et reconnues comme le Groupe Logis Hôtels, LeasePlan France, la MAIF Solutions Financières ou Auto Wash. La société précise que ce nouveau service dédié aux entreprises est actuellement en cours de déploiement dans les sept pays européens où ChargeGuru est actuellement présent.

ChargeGuru et ses implantations en France.

A suivre et à voir ce que cette nouvelle offre donnera sur le marché surtout à l’heure d’une électricité chère, possiblement indisponible par moment dans les prochains mois mais aussi face un redoutable concurrent qui va monter en puissance en 2023, la société Izi by EDF qui profite notamment d’un réseau dense et d’un énorme fichier client.

ndla : CGBS* = ChargeGuru Business Services
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De Tomaso : Bientôt en WEC ?

Janvier dernier, De Tomaso annonce qu’il vient de signer un partenariat industrel et stratégique avec les allemands de Capricorn Group, un spécialiste de l’usinage de pièces de compétition installé à Düsseldorf qui est connu et reconnu dans le monde de la course. L’entreprise du Land de Rhénanie-du-Nord-Westphalie compte notamment Porsche parmi ses clients, ce qui est un gage de sérieux et de compétitivité. Capricorn a notamment participé au développement de la Porsche 919. C’est dans le cadre de ce partenariat que De Tomaso Automobili, pour revenir en compétition et plus précisément en WEC, a choisi une voiture engagée dans la catégorie LMH. Ce possible retour en course de De Tomaso nous rappellera l’année 1972, puisqu’il y a 50 ans, la marque italienne mettait sur la piste les Pantera Gr4 (ci dessous) dont certaines ont été engagées aux 24 Heures du Mans ou dans d’autres courses mais sans beaucoup de succès à cause d’une fragilité moteur et d’un manque de rigidité de la caisse.

Une usine implantée en Allemagne…

Et pas n’importe où puisque l’usine née de ce partenariat entre De Tomaso et Capricorn Group est construite aux abords du mythique circuit du Nürburgring. L’usine va servir pour la fabrication des 72 exemplaires de la très belle P72 mais pas seulement puisque le constructeur a d’autres projets dans ses cartons, et notamment une voiture de course.Pour rester un instant avec la P72, sachez que le modèle sera lancé en production d’ici à la fin du premier semestre 2023 et les premières livraisons aux clients sont prévues durant la seconde moitié de l’année prochaine.

Bientôt une De Tomaso racecar ?

Depuis quelques temps déjà, dans le paddock et le monde feutré du WEC, il se murmure qu’un nouveau constructeur automobile viendrait se joindre à Toyota, Glickenhaus, Peugeot, Porsche, Ferrari, BMW, Cadillac, Alpine, Lamborghini, Acura, Vanwall et Isotta Fraschni. Il y aurait donc une treizième marque sur la piste en 2024. Si tous sont confirmés pour l’année 2024, la saison d’endurance risque d’être passionnante ! C’est en tout cas ce que laisse à penser le média Le Mans Hypercar News toujours bien informé pour tout ce qui concerne le monde de la course et plus particulièrement celui de l’endurance. Ainsi, durant le week end des 8 Heures de Bahreïn, la rumeur de la venue d’un nouveau constructeur en catégorie Hypercar s’est faite un peu plus forte surtout que dans le même temps on apprenait que De Tomaso et son partenaire travaillaient d’arrache pied sur la création sur ce qui serait la première voiture aux spécifications LMH. Celle-ci sera basée sur une véritable hypercar de route et non l’inverse comme l’ont fait Glickenhaus, Vanwall ou plus récemment Isotta Fraschini. Cette nouveauté à venir entrainera donc la création et la fabrication d’une nouvelle grande sportive dite « Street legal » ou d’une évolution de la P72 puisqu’elle servira de base à la voiture de compétition.

Selon les derniers éléments disponibles, De Tomaso se servirait de la base de la P72 pour créer son hypercar de course. Celle-ci devrait reprendre en partie l’allure réussie de la P72 mais dans une version adaptée à la piste, notamment pour des raisons aérodynamiques. Cette future De Tomaso devrait prendre le nom de P900 pour la version pistarde de « base » et celui de de P900 LM pour le modèle engagé en WEC et en IMSA. On sait encore peu de chose au sujet de cette possible future De Tomaso P900, toutefois il semble assuré que si elle voit le jour, cette belle coursière délaissera le V8 5.0 L d’origine Ford pour un bloc moteur V12 dont on ne sait encore rien.

De Tomaso P900 LM 2024De Tomaso P900 LM 2024

Le projet est séduisant, les deux partenaires paraissent sérieux et motivés mais il faudra toutefois prendre en compte les impondérables qui font souvent le malheur des petits constructeurs automobiles même si, dans le cas de De Tomaso Automobili, l’assise financière et technique semble bien présente et que toutes les P72 sont vendues.

L’affaire est donc à suivre dans les prochains mois pour voir si on passe de la rumeur au projet et du projet à la réalité.

Via LMHN. Illustrations : LMHNPhotos : Artcurial
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MG ZS : Facelift en approche

Né au salon de Guangzhou 2016, le SUV ZS n’est pas une nouveauté de l’année. Commercialisé depuis 2017, restylé en 2019/2020, le MG ZS est arrivé en Europe dans une seule version, celle propulsée par une motorisation électrique qui lui a parti de connaitre un certain succès sur le marché automobile grâce à des performances honorables, une bonne homogénéité, un équipement de bon niveau et surtout un prix intéressant. Nous connaissons le MG ZS en version thermique depuis six mois seulement mais grâce à une tarification canon, cette déclinaison semble elle aussi trouver ses marques et surtout sa clientèle. Toutefois agé de six ans, MG Motor a jugé utile de faire évoluer ce SUV en lui offrant un deuxième facelift qui devrait arriver assez vite en 2023 afin de lui redonner du pep’s sur le marché pour perdurer jusqu’à l’arrivée de son remplaçant aux alentours de fin 2024 ou début 2025.

Un ZS à l’apparence d’un VS

Il y a quelques jours des images du nouveau design déposées auprès de l’Administration nationale de la propriété intellectuelle chinoise (CNIPA) sont apparues et dévoile les évolutions prévues pour le MG ZS.La face avant est retouchée de manière importante avec notamment la nouvelle EMGD ou Electrified Matrix Grille Design, un nouveau bouclier avant redessiné avec une sorte de moustache intégrée et des phares à leds au dessin plus agressif.Le profil n’évolue pas mais de nouvelles jantes en alu devraient être proposées pour plus de modernité. La partie arrière évolue peu mais les feux adoptent un éclairage à leds avec un dessin intérieur qui évolue. Le ZS 2023 devait toujours exister en version monochrome mais il semble que des livrées bicolores (avec toit noir) soient proposées dans le futur teintier du modèle.

Si on se fie aux premières informations, les motorisations thermiques et électriques ne devraient pas évoluer contrairement à la planche de bord qui pourrait bien délaisser son apparence classique pour une partie haute entièrement revue avec l’arrivée d’un grand écran qui intégrera d’une part le combiné porte instruments et d’autre par le système d’infotainment. Là encore, l’ensemble sera inspiré ou repris de ce qui existe sur le nouveau MG VS thaïlandais.

Le nouveau MG VS 2022 proposé sur le marché thaïlandais.

Evolution de la face avant depuis le lancement du ZS (2017-2023)

MG ZS 2017 MG ZS 2020MG ZS 2023A suivre dans les prochaines semaines ou les prochains mois.

Via Car250, MG.

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Opel Design Hack : La Rocks-e devient le Truckster

Dans le cadre du concours de design lancé par le constructeur de Rüsselsheim il y a une quinzaine de jours, nous vous proposons d’aller à la découverte d’un projet qui métamorphose la microcar électrique Rocks-e en un mini pick up électrique nommé TRUCKSTER qui se destine à la jeunesse allemande et même plus particulièrement celle de Berlin.Dans la capitale allemande la Génération Z apprécie la nouveauté, les activités ludiques et sportives mais aussi les nouvelles mobilités qui sont souvent électriques ou électrifiées.

Le (petit) transport est le point fort du Truckster

Dans le cadre de l’Opel Design Hack, le jeune designer JulienVernier a eu l’idée de faire évoluer le quadricycle électrique pour l’adapter aux besoins des jeunes berlinois actifs et sportifs. C’est ainsi qu’il a étirer la Rocks-e vers l’arrière en créant une petite benne qui permet d’avoir un plateau coulissant capable de transporter un BMX, une trottinette et des accessoires divers qu’ils aiment utiliser au quotidien. On notera que le plateau peut devenir une table mais aussi lieu de travail notamment parce qu’il dispose de nombreuses encoches qui permettent d’avoir à portée de de main des outils. On notera que derrière l’habitacle, toujours prévu pour deux passagers [ndla : le Truckster n’est pas un pick double cabine midsize] on dispose de quelques rangements « cachés qui permettent de ranger par exemple, des canettes et/ou des outils.Pour augmenter la capacité de transport du Truckster , le designer a ajouté une galerie de toit mais aussi un rangement en partie basse (devant les roues arrière) qui permet de ranger soit une caisse à outils, des accessoires pour vélo ou… le cable de recharge qui n’a finalement pas de rangement dédié dans la Rocks-e comme dans l’AMI.

Transporter c’est bien, être reconnu c’est pas mal non plus !

Les jeunes, ceux de la Gen’Z, n’aiment pas vraiment l’anonymat, la banalité. Il faut être de son temps, en phase avec les tendances du moment, les réseaux et pour cela il faut du style comme ici avec un Truckster qui se la joue « esprit Stance ».Chassis légèrement surbaissé, enjoliveurs de roues chromés, ailes étirées, un sticker « pick up » dans la gélule de porte, quelques touches façon « woody » et autant de chromes ainsi que des décorations façon « Blitz » de couleur Lime font l’apparence sympathique et cool de ce petit véhicule électrique dédié à la vie urbaine ou péri-urbaine.Avec l’Opel Truckster, les jeunes berlinois disposent d’un véhicule à leur mesure et en totale adéquation avec leurs besoins ou envies.

On souhaite au designer Julien Vernier de voir son projet Opel aboutir dans le concours Opel Design Hack. Ce Truckster sort de l’ordinaire et l’eloigne des sentiers battus qui veulent que quelques stickers colorés et des enjoliveurs dessinés fassent une nouveauté.

Une question pour finir, ce petit véhicule électrique urbain utile et fun, vous le préférez avec le nom TRUCKSTER ou vous avez un faible pour l’appellation T-ROCKSTER qui permet de faire le lien aussi bien vers Trucks ou Rocks-e ?

Illustration : J.Vernier.

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