Volkswagen Golf R 333 Limited Edition : Réservée à l’Allemagne

Volkswagen a dévoilé ce jour la nouvelle Golf R 333 Limited Edition. Il s’agit d’une série limitée dérivée de la Golf R qui apporte quelques plus et une belle livrée Lime Yellow Metallic qui claque bien.Cette nouvelle version sportive propose plus de chevaux, quelques modifications esthétiques (et non aérodynamiques) et une meilleure dotation en équipements qui permettent de distinguer Golf R 333 d’une simple Golf R.

Le jaune et le noir

Le design extérieur est identique à celui du modèle de base mais Volkswagen a habillé la compacte sportive d’une livrée spécifique Lime Yellow Metallic associée à un toit noir, des rétroviseurs extérieurs noirs et des stickers latéraux «333» eux aussi de couleur noire. L’aileron de hayon associe le jaune citron et le noir.Les teintes de carrosserie Pure White, Lapiz Blue Metallic et Deep Black Pearl Effect sont aussi proposées aux acheteurs. La Golf R 333 est posée sur des roues en alliage en 19 pouces (modèle Estoril) identiques à celle de la Golf R mais elles profitent ici d’une peinture noir brillant qui rappelle les décorations noires de la carrosserie et de cabochons centraux noirs avec le fameux R dessiné en bleu. La compacte sportive est équipée d’origine avec des pneumatiques Michelin semi-slicks. Toujours au chapitre du style, on notera la présence de gros étriers de freins peints en bleu.

Des équipements et des détails techniques

A bord, l »équipement de série comprend, de série, en plus de la dotation de la Golf R, des sièges Sport à la belle allure (avec appuie-tête intégré) habillés en cuir Nappa, un airbag central avant, une caméra de recul et un système Hifi signé Harman Kardon avec un amplificateur d’une puissance de 480 watts et 9 haut-parleurs.Cette nouvelle Golf R 333 est équipées des phares matriciels à LED IQ.LIGHT (y compris le pack Light & Vision) ainsi que des systèmes d’aide à la conduite prévus dans le pack IQ.DRIVE. On trouve ainsi le Travel Assist, le système de maintien de voie Lane Assist, Emergency Assist et l’Adaptive Cruise Control (ACC) avec fonction Stop & Go.Enfin, l’inévitable plaque numérotée est fixée sur la planche de bord.

La 333 adopte une motorisation identique à la base à celle de la Golf R 20 ans, avec toutefois des modifications de l’ECU qui gère le L4 2.0 L TSI EA888 turbocompressé. La puissance progresse et atteint désormais 333 ch. Le couple est inchangé et reste fixé à 420 Nm. La vitesse maximale s’établit désromais à 270 km/h et il faut à peine 4.2 secondes à ce modèle pour passer de 0 à 100 km/h. Le moteur est associé à système d’échappement Akrapovič à quatre sorties avec des silencieux arrière en titane qui se veulent plus sonores. Bien évidemment la boite de vitesse DSG7 et la transmission à roues motrices 4Motion sont présents sur cette Golf R 333 Limited EditionLe système « R-Performance Torque Vectoring avec Vehicle Dynamics Manager » qui répartit la puissance motrice non seulement entre les essieux avant et arrière, mais également entre les deux roues arrière est livré de série.Les modes de conduite Drift et Special, conçus pour le circuit et le Nürburgring sont aussi de la partie mais ne doivent pas être utilisés inconsidérément et sur la voie publique si en croit les conseils du constructeur allemand.

La vidéo de promo de l’auto

La VW Golf R 333 sera fabriquée à… 333 exemplaires. La production se fera à Wolfsburg. Elle doit commencer en septembre prochain afin que les premiers modèles puissent être livrés aux clients dans le courant du mois d’octobre. Par ailleurs, Volkswagen veut marquer le coup et fait savoir qu’un événement spécifique est prévu pour les clients qui récupèreronnt leur véhicule à Wolfsburg, à l’Autostadt, en octobre 2023. En Allemagne, le prix de vente est à partir de 76.410€ (hors option et accessoire) ce qui fait très cher pour une Golf, même dérivée d’une version R qui est vendue au catalogue Volkswagen Deutschland au prix de base de 54.880€. Le surcoût est élevé pour quelques décorations, une sellerie en cuir Nappa, un système audio High End , 13 ch de plus et un vitesse maximale augmentée. Aucune commercialisation n’est prévue en dehors du marché allemand.

Via Volkswagen, YouTube.
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Brussels Motor Show : C’est fini

Et voilà, un salon automobile de plus qui passe à la trappe et pour le coup c’est une surprise.Après avoir connu un beau succès lors de sa dernière édition et centième édition qui s’est tenue entre les 14 et 22 janvier derniers, nous venons d’apprendre que le salon de Bruxelles ou Brussels Motor Show cessait d’exister et qu’il n’aurait pas lieu en 2024.Le salon belge rejoint la cohorte des expositions automobiles qui disparaissent petit à petit ou qui essayent de se réinventer en nous parlant d’électrification à tout va, de mobilité d’avenir, de trottinettes électriques ou de vélos cargos.

Il faut en chercher la raison du coté des constructeurs et non des visiteurs

C’est lors d’une réunion qui se tenait en fin de semaine passée, après un état des lieux présent et d’avenir que les membres de la fédération automobile belge et luxembourgeoise et du cycle (FEBIAC) ont pris la décision de ne pas organiser le salon de l’automobile de Bruxelles en 2024. Après un examen approfondi des divers éléments nécessaires à l’organisation, la fédération automobile et son conseil d’administration ont pris la décision de ne pas organiser de Salon « physique » l’année prochaine.La FEBIAC dit avoir toujours eu comme objectif de proposer aux visiteurs une expérience qualitative et représentative du monde automobile, de celui de la moto et des différentes mobilités, toutefois, en cette année 2023 les conditions ne sont pas réunies et le Conseil a conclu à l’inopportunité de poursuivre les démarches pour le salon prévu en 2024.

Le média belge Le Soir est allé à la pêche aux informations et il a pu rapporter quelques propos d’un des membres de la fédération qui a précisé :« Pour qu’un salon soit organisé, il faut que trois conditions soient remplies. Il faut que les conditions sanitaires le permettent, qu’il y ait un intérêt pour les visiteurs et un intérêt pour les exposants. A la vue du succès rencontré auprès du public lors de la dernière édition qui a accueilli plus de 270 000 visiteurs, c’est donc au niveau de l’intérêt de certaines marques que se situe le problème. Sachant que nous ne souhaitons pas organiser un salon au rabais, un salon qui n’offre pas une représentativité suffisante du marché automobile ne peut exister. »

Espérons que l’IAA Munich 2023 (5 – 10 septembre) et le retour annoncé du Salon de Genève sur les rives du Lac Léman qui se déroulera du 26 février au 3 mars 2024 seront intéressants et permettront aux amateurs d’automobiles européens de profiter d’expositions complètes et intéressantes.Une chose est certaine, le salon belge aura vécu un siècle et pas une année de plus.

Via FEBIAC, LeSoir.

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Alpine : Un show dieppois aux 24 Heures du Mans 2023

La course du centenaire est un grand et bel événement dans le monde automobile et sportif. Les constructeurs en piste pour le double tour d’horloge font tenter de faire bonne figure sur la piste pour aller chercher la victoire ou pour être sur le podium afin d’entrée dans l’histoire des 24 Heures du Mans. Cette édition 2023 revêt un aspect tout particulier pour le constructeur automobile français Alpine qui est actuellement dans une grosse session de communication mais aussi en phase d’accélération dans son développement. Si Alpine sera dans la course avec deux A470 engagées dans la catégorie LMP2, la marque vient en terre mancelle avec des nouveautés et des éléments qui nous parlent de l’avenir de la firme dieppoise que Laurent Rossi, le directeur général et Luca de Meo, le patron de Renault Group, ont bien l’intention de mettre sur orbite dans les prochaines années.

Et si on parlait d’Hypercar !

Le 9 juin 2023 à 11h30 au Mans, c’est dans son nouvel Alpine Paddock Center que la firme automobile normande dévoilera aux médias et au public sa nouvelle Hypercar LMDh qui courra en 2024 dans la catégorie reine du WEC. On sait encore peu de chose au sujet de cette nouvelle grande coursière française avec va venir jouer les troubles fêtes dans la catégorie Hypercar et qui espère bien se tailler la part du lion en venant montrer à la Peugeot 9X8 qui est la patronne ! Comme le veut la réglemantation, cette future Alpine LMDh utilisera un châssis Oreca qui est l’un des quatre châssis homologués en WEC et proposera une motorisation spécifiquement conçue pour cette série automobile.

Hop, une nouvelle série limitée sur la base du coupé A110

On serait tenté de dire que cette annonce est tout sauf une surprise puisque le constructeur automobile use de ce mode de commercialisation depuis quelques années avec succès.Alpine annonce que ce centenaire manceau sera également accompagné par le lancement d’une série limitée du coupé A110 qui rendra hommage à la course d’endurance.La firme normande aura le choix puisqu’elle peut puiser dans son histoire aux 24 Heures du Mans. La marque au « A fléché » a ainsi inscrit son nom au palmarès de l’épreuve à travers l’Indice Énergétique en 1964, 1966 et 1968, puis à l’Indice de Performance en 1968 et 1969. À cela, il convient d’ajouter dix victoires de catégorie et surtout la victoire au classement général de l’Alpine A442B pilotée par Jaussaud et Pironi en 1978. Le constructeur a donc le choix entre le bleu associé avec un damier noir et blanc ou le tricolore Jaune/Blanc/Noir de l’A442B pour habiller le coupé A110 R qui servira de base à cette nouvelle série limitée.L’A110 R Le Mans se dévoilée le 7 juin à 13h20 sur le Circuit des 24 Heures.

Ci dessous, Alpine A110 R « standard »

Si l’Hypercar et le coupé A110 ne suffisent pas !

Alpine présentera également dans le village des 24 Heures du Mans sa future citadine sportive électrique A290_β ainsi que son concept car Alpenglow présenté au dernier Mondial Paris Motor Show 2022 (Village Hydrogène). La firme automobile normande fera aussi de la communication autour de sa future participation à la Pikes Peak International Hill Climb avec l’A110 Pike Peak et mettre en avant sa belle troisième place au dernier Grand Prix de F1 de Monaco grâce à Sebastian Ocon.

De nombreuses autres activités sont prévues pour les alpinistes mais pas seulement puisque la marque au A veut marquer les esprits et les envies aussi bien sur la piste que dans le paddock ou le village des 24 Heures du Mans.

A suivre la semaine prochaine.
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Evénement : Ce 30 mai, on inaugure une grande usine de fabrication de batteries en France

Ici et là on parle de Gigafactory de la batterie à la façon française… Remettons d’abord l’usine au milieu de sa zone industrielle en rappelant que les Gigafactories sont une appellation liées aux usines du constructeur américain Tesla. Ici, nous avons simplement à faire à une grande usine ou importante unité de production mais pas à une gigafactory puisque Tesla n’est pas partie prenante dans ce projet.

Un événement d’importance

Ce jour est donc une journée importante puisqu’on inaugure la première usine de batteries pour véhicules électriques dans le nord du pays. Ce sera un moment presque solennel qui doit montrer l’implication de la France dans le développement des énergies d’avenir et la promotion d’un « savoir faire à la française » dans le monde du stockage de l’énergie pour les moyens de transport.Cette nouvelle usine est la première d’une série de quatre qui ont été annoncées depuis le premier quinquennat du président Macron.

Ce mardi, c’est donc dans la région des Hauts-de-France, à Douvrin très exactement que l’on inaugure la première grande usine de batteries électriques en France. Avec cette ouverture, le pays veut tenter de rattraper son retard dans la course à la souveraineté industrielle mais aussi énergétique. Etonnamment ce n’est pas le chef de l’état qui va inaugurer l’usine. En effet, il sera absent il laisse l’honneur de représenter l’état français à l’homme qui roule en Peugeot e208, à savoir le ministre de l’économie Bruno Le Maire qui sera accompagné de la ministre de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher et du ministre de l’Industrie, Roland LescurePar ailleurs, la France a invité pour l’occasion des ministres italiens et allemands comme pour montrer qu’il existe une solide unité européenne derrière ces projets industriels français, ce dont on peut parfois douter car ces deux autres grands pays européens ont un avis sur la question et des projets nationaux.Les dirigeants des différentes entreprises partenaires du projet devraient eux aussi être de la fête électro-nordiste de ce 30 mai 2023.

Usine ACC – loclisation géographique

Une très grande usine pour de grands enjeux industriels et économiques

Ce projet est mené par la société ACC, une co-entreprise qui associe le grouge pétrolier TotalEnergies aux groupes automobiles Stellantis et Mercedes-Benz. Cette usine se veut être d’importance quasi vitale pour faire face à la concurrence venue d’Asie. Les services de l’état assurent qu’à l’horizon 2030, cette grande unité de production sera en capacité de fabriquer quelques 40 GWh de batteries par année ce qui devrait permettre de fournir des moyens de stockage d’énergie pour environ 500.000 voitures électriques.Le site d’ACC à Douvrin est installée sur un terrain qui couvre 35 hectares et il annonce une superficie couverte de 61.000 m² carrés pour quelques 644 m de long et 100 m de large mais aussi des hauteurs comprises entre 10 et 34 m. L’usine d’Automotive Cells Company est adossée à celle de la Française de Mécanique qui est implantée à Douvrin depuis 54 ans. ACC est donc implantée au sein du Parc des industries Artois-Flandres à Douvrin/Billy-Berclau dans le Pas-de-Calais.On nous explique qu’il a fallu moins de dix mois pour que le bâtiment principal sorte de terre, et qu’il sera finalisé à l’automne prochain. A partir de cet été, des cellules prismatiques, dédiées à équiper des batteries de véhicules électriques sortiront de l’unique chaine de fabrication qui sera active en 2023. Cette ligne de production représente un tiers des capacités du site, c’est à dire 13.3 GWh. Les deux autres chaines de fabrication seront installées dans les prochaines années et probablement en fonction de la demande.

Fin 2023, le site comptera environ 350 salariés pour répondre aux besoins en main-d’œuvre et en 2025, ce seront plus de 1.200 employés, essentiellement des conducteurs d’installation de machines et des techniciens de maintenance qui officieront dans l’usine ACC.

Les dirigeants et les communicants d’Automotive Cells Company aiment à nous rappeler ces derniers jours que la ligne de fabrication a été installée en quelques semaines seulement puisque les premiers équipements sont arrivés le 26 décembre 2022 dans le port de Dunkerque. On notera toutefois que cette chaine de fabrication est installée à partir de systèmes, de robots et de matériels divers qui viennent essentiellement d’Asie. Ainsi, on compte actuellement entre 700 et 750 salariés venus de Chine et de quelques autres pays d’Asie qui travaillent en association avec 150 salariés d’ACC.Le coût financier de cette première ligne (hors bâtiments) est estimé entre 700 et 800 millions d’euros.Pour ce qui est de la construction, le principal prestataire est la société Eiffage via ses trois entités que sont Eiffage Métal, Eiffage Énergie Systèmes et Eiffage Route. Trois autres partenaires sont de la partie, il s’agit de Moretti Constructions, Bemaco et Exyte. Le montant global des travaux de construction et de voirie s’élève à près de 75 M€ dont 48.7 M€ pour Eiffage soit environ 10% du budget d’une ligne de production. Quand il sera fini et opérationnel, le site de Douvrin aura nécessité plus de 8 milliards d’euros d’investissements, ce qui est tout sauf négligeable pour ce premier « étage de l’Airbus de la batterie » comme l’appelle certains politiciens. L’usine doit officiellement ouvrir durant l’été mais il faudra attendre novembre ou décembre pour voir sortir les premières cellules commercialisables. La direction de l’entreprise compte sur le savoir faire asiatique pour bien former les salariés nordistes qui ne devront pas avoir un taux de rebut supérieur à 5% dès le début de la production.

usine ACC en construction (photo Eiffage)
Usine ACC lorsqu’elle sera terminée (Eiffage)

La « Vallée de la batterie » est lancée

Après ACC, trois autres usines de batteries vont sortir de terre dans la région pour créer ce que certains appellent déjà « Battery Valley » ou la Vallée de la batterie, surement un hommage à la Silicon Valley américaine !Sont attendues dans la région l’usine Renault/Envision à Douai en 2024, l’usine Verkor en 2025 à Dunkerque (principal client Renault Group) et la dernière, l’usine du taïwanais ProLogium qui devrait s’installer elle aussi à Dunkerque. Pour rester un instant avec les dirigeants de ProLogium, sachez qu’ils prévoient d’investir 5.2 milliards d’euros d’ici 2030 dans cette première usine implantée à l’étranger. Ils annoncent la création d’au moins 3.000 emplois et l’arrivée en France d’une technologie dite de la rupture, à savoir les fameuses batteries solides. Ce dernier projet a simplement été annoncé au milieu de ce mois et demande toutefois à être finalisé, signé et financé.

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Audi : La RS 6 GTO Concept présentée au Salon Top Marques Monaco 2023

Lamarque aux anneaux va profiter de la 18eme édition du Salon Top Marques Monaco qui se tiendra du 7 au 11 juin prochains pour présenter au public l’Audi RS 6 GTO Concept.

Un show car déjà agé de 2 ans et demi

L’auto n’est pas vraiment nouvelle puisque l’Audi RS 6 GTO est un concept car réalisé entièrement par des apprentis de Neckarsulm en 2020 C’est ainsi qu’un groupe de 12 étudiants en troisième année de l’Audi Academy, venus de quatre corps corps de métier différents, ont construit et travaillé pendant plus de six mois aux côtés des designers et des équipes techniques d’Audi pour mener à bien ce projet.On se souviendra qu’en 2020, Audi fêtait les 40 ans de sa technologie Quattro et après la présentation d’une série spéciale du coupé TT, le TT RS « série 40 Years of Quattro », Audi avait présenté ce show car dérivé d’un break RS6. C’était un hommage mécanique à l’Audi 90 Quattro IMSA GTO qui courait dans les années 90.

Cette RS 6 GTO Concept n’est pas une e-tron

Ce concept car est décoré avec les couleurs Audi Sport de sa prédécesseure et se veut d’apparence très athlétique pour ne pas dire musculeuse et très large (2.091 m). Le concept RS 6 GTO se destine à mettre en avant la sportivité, les émotions et la technologie Quattro ainsi que celle d’Audi Sport. Les caractéristiques techniques se basent sur celles de l’actuelle Audi RS6 mais en version « Plus Plus » avec notamment un moteur délivrant 705ch et 900 Nm de couple.Audi nous rappelle que 2026 sera un tournant pour la marque avec le passage à une nouvelle ère de conception 100% électrique et de nouveaux enjeux de production tant en série que pour les versions sportives. Cette Audi RS 6 GTO Concept est probablement le dernier modèle d’une génération d’automobiles en fin de vie mais elle préfigue aussi le futur de la RS6 qui laissera sans doute la place dans 3 ans environ à la présentation d’une grande sportive 100% électrique même si nous ne savons pas si ce sera un coupé ou un break.

A décourvrir du 7 au 11 juin 2023, au Grimaldi Forum à Monaco.

Via Audi.
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Volkswagen se sépare de toutes ses activités en Russie

Après que le groupe Volkswagen ait suspendu l’ensemble de ses activités en Russie en réponse à l’attaque contre l’Ukraine en février 2022, le groupe automobile de Basse Saxe annonce qu’il se retire désormais totalement du pays.

On a ainsi appris le 19 mai dernier que les actions de Volkswagen Group Rus mais aussi ses structures locales et filiales comme Scania sont ne font plus parties de l’entreprise allemande puisqu’elles sont toutes vendues à l’investisseur Art-Finance, soutenu par le distributeur automobile russe Avilon. Si on ne connait pas le montant globale de cette session, on sait toutefois que la transaction comprend notamment les installations de production de l’usine de Kaluga à l’ouest du pays. construite en 2006-2007, Volkswagen avait mis en service cette usine d’assemblage en novembre 2007. Cette unité industrielle employait au plus fort de son activité quelques 3.500 salariés et pouvait produire jusqu’à 150000 véhicules par an.

Par ailleurs, Volkswagen cède l’ensemble de ses activités de vente (concessions) et d’après-vente (ateliers) ainsi que les activités d’entreposage, de gestion des parcs de stockage et l’intégralité des services financiers. Toutes ces activités sont vendues au repreneur russe qui s’est engagé à reprendre tous les employés qui étaient jusque là sous la direction de Volkswagen.

On ne sait pas ce que vont devenir ces entités laissées sous la gouvernance russe.

A suivre.

Via AMP, AP.
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BMW Concept Touring Coupé : Le Grand Tourisme, c’est toujours chic

BMW Group, principal partenaire du prestigieux concours d’élégance italien a présenté vendredi soir en première mondiale et sous la pluie, la BMW Concept Touring Coupé lors de l’ouverture du Concorso d’Eleganza Villa d’Este 2023.A cette occasion, Domagoj Dukec, le directeur du design de BMW a déclaré : « La BMW Concept Touring Coupé célèbre le plaisir de conduire à l’état pur. Un véhicule purement émotionnel comme celui-ci montre que la passion pour tout ce qui contribue au plaisir de conduire a été essentielle à travers les âges et le sera encore à l’avenir. »

Des références officielles au passé mais pas seulement

Développé sur la base du roadster Z4, le BMW Concept Touring Coupé ne doit pas nous rappeler des BMW récentes comme les Z4 Coupé E85 de 2005 et Z3 Coupé E36 de 1998 puisque le constructeur munichois nous fait voyager dans son histoire et nous renvoie à la BMW 328 Coupé dessinée par la Carrozzeria qui a gagné les Mille Miglia en 1940 ainsi qu’à la Série 02 du début des années 1970 qui existait avec une carrosserie bicorps baptisée Touring, façon break de chasse, pour se différencier des berlines tricorps d’alors. C’est bien évidemment le choix de la marque et au final, chacun y verra les références qui lui conviennent.

Un style classique et agréable

Le style est bien évidemment proche de celui du roadster pour la partie avant. On retrouve une calandre normale et non hypertrophiée avec deux haricots aplatis et élargis spécialement conçue avec des doubles barres longitudinales qui remplacent la grille « standard » faite de picots argentés. La calandre est classiquement dans le prolongement des optiques qui ressemblent à ceux du roadster Z4. Nous sommes donc bien loin des faces avant des X7, Serie 7/i7 ou XM qui, certes, marquent les esprits et les yeux mais qui manquent d’élégance et de finesse.

Le profil dynamique associe un long capot moteur et un et toit plongeant ou fuyant vers l’arrière du Concept Touring Coupé. BMW a tenté de recréer au niveau des vitres de custode un semble de pli Hofmeister, à moitié réussi car il remonte un peu trop haut. On notera des ailes plus marquées et des passages de roue arrière étirés qui doivent donner une élégante sportivité à l’ensemble.Les plus attentifs auront remarqué l’habillé métallisé du contour du vitrage latéral. Au delà de sa teinte métallisée, il rappelle celui qui est présent sur le tout récent et imposant SUV XM.

La partie arrière se singularise par la présence de plis sur le pavillon, d’un becquet de toit et d’un autre au niveau de coffre qui enserrent une petite lunette arrière. Les feux effilés élargissent visuellement le coupé et le bouclier arrière avec un imposant diffuseur associé avec les ailes larges donnent un aspect sportif et bien assis à la voiture. On aimera ou non, mais cette partie arrière retravaillée donne une allure « prêt à bondir » à cette nouveauté munichoise quand on l’observe de l’arrière ou de 3/4 arrière.  Les grandes roues en alliage à 20 rayons créées pour l’occasion propose un design singulier qui veut marier là encore sportivité et élégance. Pour que le Concept Touring Coupé soit bien assis sur le sol, il est posé sur des jantes de 20 pouces à l’avant et de 21 pouces à l’arrière.BMW joue sur le coté luxueux de ce shooting brake en apposant sur certaines pièces des touches de bronze argenté et des surfaces dorées discrètes qui participe à la mise en avant du caractère sportivo-élégant du nouveau véhicule.

La BMW Concept Touring Coupé se pare d’une peinture extérieure Sparkling Lario spécialement créée pour elle et faite avec des éclats de verre bleu incrustés et des teintes gris-brun parfaitement assortis aux accents de bronze argenté que l’on retrouve ici et là sur la carrosserie et les roues.

Du luxe chaleureux pour deux

Dans le petit cockpit à deux places associé à un coffre suffisant, l’ambiance se veut luxueuses et chaleureuse grâce à des choix de beau matériaux et au travail d’artisans très qualifiés.L’habitacle est entièrement revêtu de’un très beau et épais cuir italien signé Poltrona Frau qui divise l’intérieur horizontalement en deux segments de couleur distincts. Ainsi la partie supérieure est habillée dans un ton brun foncé qui favorise la concentration pendant la conduite tandis que dans la partie inférieure, on retrouve un brun selle clair qui apporte confort et chaleur à l’intérieur du coupé.Du cuir perforé ainsi que des sangles en cuir tressé pour les cantonnières de siège et la barre coulissante montre le caractère artisanal de l’habitacle qui combine l’artisanat traditionnel au plus haut niveau avec les principes de conception modernes. Si elles sont revêtues de cuir, la planche de bord et la console centrale restent identiques à ce que l’on trouve sur la BMW Z4 Roadster.Pour compléter cette invitation au sport et au luxe ainsi qu’au voyage, BMW a demandé à l’atelier de maroquinerie de luxe Schedoni implanté à Modène de concevoir un set de bagages assorti à l’habitacle et ses coloris. L’ensemble sur mesure se compose de deux grands et d’un petit sac de voyage, ainsi que d’un sac à vêtements.

BMW n’est pas très bavard au sujet de la motorisation de cette nouveauté, qui est un « One off ». Nous savons toutefois qu’il s’agit du fameux L6 3.0 L TwinPower Turbo B58 ou 40i qui est présent sous le capot du Z4. Il doit donc développer 340 ch à 5000 trs/min et un couple de 500 Nm à 1600 trs. Comme le roadster ce Shooting brake munichois est une propulsion et dispose d’une BVA8.

La BMW Concept Touring Coupé en vidéo

Ce Concept Touring Coupé est un modèle unique et ne devrait pas exister en version de série (même limitée). Il nous montre toutefois que BMW sait encore faire autre chose que des SUV et des trop gros haricots.

Via BMW, Youcar, YouTube.
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Station 70 (épisode 10) : La SL c’est la plus belle !

Ce jour, Luc Le Gleuher nous donne rendez vous dans un bel endroit puisqu’il s’agit du Chateau de Crèvecoeur-en-Auge, une très belle seigneurie rurale du XVeme siècle situé entre Caen et Lisieux qui abrite la Fondation Musée Schlumberger où l’on pourra découvrir la vie, l’histoire et le travail des ingénieurs Conrad et Marcel Schlumberger qui ont révolutionné la prospection pétrolière au début du XXeme siècle.Même si le pétrole est nécessaire pour faire fonctionner les moteurs des voitures thermiques, Luc va nous parler ce jours des 3 premières générations de la Mercedes-Benz SL pour Sport Leicht (ou sport léger en allemand), un modèle dont les origines remontent à 1952 avec la 300 SL, un prestigieux modèle qui s’est illustré en compétition, en remportant de très nombreuses courses dans le monde et notamment la fameuse Panamericana qui fera beaucoup pour la notoriété du modèle dès son début de carrière puis au fil des décennies.

SL comme Superbe Ligne

Si la 300 SL (W198) est absente de la présentation du jour, on retrouve avec plaisir une 190 SL (W121 B2) de la période 1955-1963, une 280 SL (W113) de la période 1963-1971 et une 280 SL (R107), celle de Jessica et Jonathan Hart dans l’Amour du risque qui a existé entre 1971 et 1989. Ici, la présentation se fait notamment en présence d’Arnaud Halley qui est le vice-président du Club Mercedes-Benz France et de Gérard Halley, le président de la section Calvados du Club précédemment cité. 190 SL, 280 SL « Pagode » et 280 SL sont au programme de cette émission. A vous de faire votre choix parmi ces trois grands classiques de la collection automobile. Trois stuttargoises qui ne marque ni de charme,ni de prestance ou d’élégance sont présentées ici. Pour nous et même pour moi, le choix est fait et bien fait, mon coeur balance pour la SL en version W113, la fameuse « Pagode » (à cause du dessin de son hard top) dessinée par le grand designer français Paul Bracq qui a notamment oeuvré pour les marques Mercedes-Benz, BMW ou Peugeot mais aussi Brissonneau et Lotz ou Alstom (design du TGV 001).Un cabriolet toujours élégant, fin mais aussi racé dans son style qui séduit toujours, 60 ans après sa présentation.

Assez baverdé, il est venu le moment de passer de la lecture à l’image avec Luc Le Gleuher au micro.

Via Station 70, Tevi TV, YouTube.
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Stellantis suspend la construction de son usine canadienne

Le groupe automobile que dirige Carlos Tavarès a annoncé il y a quelques jours, le lundi 15 mai très exactemment, qu’il mettait immédiatement à l’arrêt à la construction de son usine de batteries pour véhicules électriques implantée à Windsor dans l’Ontario.Le montage du site industriel a pris soudainement fin à cause d’un différend qui oppose Stellantis avec le gouvernement fédéral sur le soutien apporté à cette usine de 3.7 milliards de dollars.En effet, le constructeur automobile franco-italo-américain accuse le Canada de ne pas respecter sa part du marché concernant l’aide prévue pour cette nouvelle entité industrielle de Windsor.

La direction de Stellantis est « grognon »

La direction du groupe automobile de dire :« A ce jour, le gouvernement canadien n’a pas respecté ce qui avait été convenu. Par conséquent, Stellantis et LG Energy Solution commenceront à mettre en œuvre leurs plans d’urgence. A compter de maintenant, toutes les constructions liées à la production de modules de batterie sur le site de Windsor ont définitivement cessé. » Trois phrases qui en disent long sur l’état d’agacement des dirigeants de Stellantis pour cette affaire industrielle.L’affaire avvait pourtant bien commencé puisqu’on se rappellera qu’nn mars 2022, Stellantis le fabricant de batteries sud-coréen LG Energy Solution avaient annoncé un investissement de quelques 5 milliards de dollars canadiens (3,4 milliards d’euros ou 3.7 milliards de dollars) pour construire cette usine.Jusqu’à maintenant, celle-ci était connue sous le nom de Next Star Energy. Le projet prévoyait par ailleurs la création d’au moins 2.500 postes travaillés ainsi qu’une capacité annuelle de production supérieure à 45 gigawattheures et devait permettre au groupe, d’alimenter ce que l’on appelle le Corridor de l’industrie automobile nord-américaine où se trouvent des usines du groupe Stellantis puisque la ville de Windsor est toute proche de Detroit dans le Michigan aux USA qui est située à environ 5 km.

Volkswagen dans la boucle de la discorde !

Cette décision d’interruption ou de fin de chantier (?) intervient environ un mois après que le Canada ait accepté d’accorder 13 milliards de dollars canadiens (près de 9 milliards d’euros) de subventions au groupe industriel Volkswagen pour la construction d’une immense usine de batteries et de produits dédiés à l’électrification des véhicules. Bien évidemment, le gouvernement a réagi à l’annonce de Stellantis par l’intermédiaire de la vice-première ministre Chrystia Freeland qui a déclaré :« Nous sommes très favorables à cet investissement et je suis absolument convaincue que nous allons parvenir à un accord. Mais je tiens également à souligner que les ressources du gouvernement fédéral ne sont pas infinies et que nous comptons sur l’Ontario (le gouvernement provincial) pour faire sa juste part et sur Stellantis pour être raisonnable dans ses demandes. »Par ailleurs, le ministre canadien de l’industrie, François-Philippe Champagne, a fait savoir, via sa porte parole que de nouvelles négociations étaient en cours avec le groupe et d’ajouter que la principale préoccupation de l’état canadien reste d’obtention du meilleur accord possible pour les canadiens.

Le gouvernement de l’Ontario et les élus montent aux créneaux

Le premier ministre de l’Ontario Doug Ford est aussi de la partie et il a déclaré qu’il était inquiet au sujet de l’avenir de ce projet. Il a ajouté qu’il avait besoin que le gouvernement fédéral vienne à la table des négociations et montre son soutien comme il l’a déjà fait dans ce dossier comme dans d’autres. Le premier ministre a par ailleurs dit :« Cela m’inquiète vraiment. Nous avons besoin que le gouvernement fédéral intervienne comme il l’a fait pour Volkswagen. Nous avons signé un accord avec Stellantis il y a déjà des mois, il y a un certain temps en fait, sur l’infrastructure – et nous leur avons donné exactement le même montant que nous avons donné à Volkswagen… »Les élus de cette région de l’Ontario sont eux aussi mobilisés pour relancer ce dossier industriel. L’impact que pourrait avoir la non poursuite de la construction de l’usine ne serait pas négligeable sur notre communauté et pour notre région. Si l’affaire n’est pas remise sur les rails dans les prochaines semaines, ce sont des milliers d’emplois menacés. L’édile de la ville de Windsor a rempli ses devoirs et ses engagements pour la future usine NextStar EV by Stellantis et LG Energy Solution. De nouvelles négociations entre les parties vont être relancées ces jours-ci et la ville assure que sa volonté est inébranlable pour aider à trouver une solution constructive au profit de notre communauté qui s’est préparée à accueillir ce projet d’usine.

Cet important et difficile dossier pour Stellantis sera à suivre dans les prochains jours et prochaines semaines.

Via AFP, Actualité Canada, AP.Photo : Sijia Liu.
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Top Gear : Les trublions de Vilebrequin prennent les commandes de l’émission française

Top Gear France dit adieu au trio composé de Philippe Lellouche, Le Tone et Bruce Jouanny et le remplace par un duo, et pas n’importe lequel puisqu’il s’agit de Sylvain Lévy et Pierre Chabrier, les hommes de la chaine Vilebrequin sur YouTube.

De l’huile neuve et un turbo dans la machine Top Gear

Avec ce changement de présentateurs, l’émission part à la reconquête des audiences perdues par une équipe qui était probablement à bout de souffle ou en manque de fun. Avec l’arrivée de Sylvain Lévy et Pierre Chabrier, BBC Studios France et RMC Découverte espèrent voir arriver les fans qui sont quelques millions autour de Vilebrequin. Les duo franchit ici un cap et il va devoir apporter du peps à une émission qui était devenue un peu « planplan » et surtout en perte d’audience ces deux dernières années. Dès la prochaine saison de Top Gear France, Sylvain et Pierre vont devoir faire parler la poudre ou plutôt mettre le turbo pour relancer un show TV qui a perdu plus de 27% de ses téléspectateurs entre la fin de la saison 2022 et le début de celle de 2023 qui a débuté en mars dernier.

Les deux compères qui ont réussi et connu le succès avec Vilebrequin mais aussi d’autres formats et d’autres événement seron le nouveau tandem d’animateurs pour la saison 9 de Top Gear France qui sera mise à l’écran l’an prochain par RMC Découverte.Certains disent voir en eux la vraie et performante adaptation à la française du trio Jeremy Clarkson, James May et Richard Hammond qui a sorti de sa torpeur toute britannique la réputée émission Top Gear UK il y a déjà quelques années.

Vilebrequin is the New french Top Gear

En six ans, le tandem loufoque mais compétent et complice a su séduire et faire venir à lui une « clientèle » jeune qui semble se retrouver dans son approche de l’automobile qui se veut toujours drôle, accessible et sans maldonne ou erreur. Il faut désormais laisser un peu de temps au duo de choc afin qu’il prenne ses marques, qu’il sache se glisser dans les fils conducteurs de l’émission britannique pour éviter de faire seulement du Vilebrequin à la TV. Les deux garçons savent y faire et devraient parvenir à proposer pour l’an prochain un Top Gear à la française qui ne manquera pas de carburant pour parler d’automobile de façon ludique et sympathique comme ils le font depuis 2017 sur leur chaine YouTube.

Avant de les retrouver sur vos dalles TV (Top Gear s’apprécie en grand, pas sur un écran de smartphone, fut-il dépliant !) les hommes de Vilebrequin seront sur le circuit de Magny-Cours le 4 juin prochain à l’occasion du Merguez Tuning Show où l’on pourra notamment voir et apprécier le fameux 1000tipla de 1294 ch à moteur de Corvette.

Pour avoir un premier aperçu du MTS 2023, voici la vidéode présentation

On leur souhaite de bien tenir le volant, de prendre la bonne trajectoire mais aussi du courage, de la passion et du succès.

Via AP, RMC Découverte, YouTube.
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