Renault : La R5 évoluera essentiellement d’un point de vue technique

On doit cette annonce à Fabrice Cambolive, le directeur de Renault.Le PDG de la marque au losange a fait savoir auprès de journalistes britanniques que la récente R5 E-Tech Electric conservera dans le temps son design « néo rétro » et ce aussi longtemps que possible ou que le permettra le marché et la demande de la clientèle. Avec cette annonce, Renault calque un peu l’évolution de son modèle sur ce que fut la carrière de la R5 originelle entre 1972 et 1984. On se rappelle tous que l’allure générale du modèle n’a pas beaucoup évolué en 12 ans si ce n’est avec l’arrivée de la version 5 portes et d’une planche de bord redessinée pour le millésime 1980.

Style conservé et technologie évolutive

Le constructeur assure toutefois qu’il maintiendra la citadine dans une situation compétitive tout au long de son cycle de vie grâce à des évolutions de sa motorisation, de sa transmission et de sa technologie électrique notamment du coté de la batterie et de sa gestion électronique.

Renault ne cherchera pas à modifier la R5, mais plutôt à mettre à jour des éléments très précis ou ciblés tout au long du cycle de vie de la voiture. Ce choix ouvre beaucoup de possibilités pour la créativité du designer en chef Gilles Vidal et son équipe du bureau de style de la marque.Actuellement dans le bon tempo pmar rapport à la concurrence du segment, Fabrice Cambolive veut une R5 actualisée techniquement et assure que Renault va investir dans la façon de gérer les batteries mais aussi en matière de connectivité mais aussi dans la polyvalence et la modularité de la citadine électrique.

Le boss de Renault précise que bien que construite sur la plateforme CMF-BEV, la R5 sera en mesure de profiter des développements technologiques promis ou prévus aux environs de 2028, au moment de l’apparition des nouveaux VE et hybrides de la marque et même peut-être plus tôt avec l’arrivée de batteries LFP dans le courant de l’année 2026.La R5 E-Tech devrait donc profiter d’une nouvelle chimie de batterie qui doit, entre autres choses, réduire les coûts jusqu’à 50% et permettre des temps de charge inférieurs à 15 minutes sur des bornes à la puissance « décente ».

On achète une R5 parce que c’est une R5

Sachez par ailleurs que Fabrice Cambolive s’est félicité du succès européen des Renault Clio et Dacia Sandero avant de revenir à « son bébé », la R5 E-Tech Electric et de déclarer à son sujet :« Pour moi, ce qui est important, c’est la capacité de la R5 à briser le plafond de verre de l’adoption des véhicules électriques. Le rôle de la Renault 5 est avant tout un rôle de conquête. Notre objectif est que les clients achètent la citadine non pas parce qu’ils veulent passer à un véhicule électrique, mais parce qu’ils veulent la R5. »

Via Renault, Autocar.
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Le coin lecture : « A LIFE IN HONDA CIVIC : Une vie en Honda Civic »

Après « A Life In Range Rover » en 2022 , « A Life in Porsche 911 » en 2023, François Bouet revient en fin 2024 et il s’est penché sur un modèle emblématique du constructeur japonais Honda, la Civic. Ii nous en parle avec plaisir et passion dans son dernier ouvrage intitulé « A Life in Honda Civic ». 

Depuis 1972, la Civic est une référence mondiale parmi les berlines compactes et ce modèle connu de tous méritait bien que l’auteur se penche sur le sujet en 242 pages. Comme pour pour ses précédents livres parus dans la même collection, François Bouet nous propose ici de découvrir ou redécouvrir cette japonaise pleine de charme et de talent série au fil de 240 pages illustrées par des publicités d’époque du modèle dans le monde et pas seulement au Japon, aux USA ou en Europe. La Civic a clairement inspiré les publicitaires à travers le monde notamment au travers de pages de promotion qui sont à la fois créatives et souvent originales ou singulières. A travers la Honda Civic, ses différentes versions et publicités, François Bouet nous propose avec son livre un grand morceau d’histoire de l’automobile qui se dévoile au fil des pages mais aussi des évolutions techniques du modèle, de ses versions et dérivés (Type R, SW, CRX notamment).

Au même titre que les deux précédents volumes, ce nouveau livre de notre confrère François Bouet a toute sa place dans une bibliothèque, sur le bureau d’un amateur de voitures japonaises ou sur la table du salon pour discuter entre amis passionnés d’automobile.

« A LIFE IN HONDA CIVIC : Une vie en Honda Civic » est un joli bouquin de 242 pages en format 30×30 qui pèse son poids (2.1 kg) qui est publié par les Cahiers de l’Edition. Le texte est écrit à la fois en français et en anglais.Ce livre mis en vente en décembre dernier est vendu au prix de 69.00€.

Sachez enfin que François Bouet sera présent au salon Retromobile, sur le stand de La Vie de l’Auto de la Librairie Automobile SPE, chez Passion Assurance avec Laurent Bonfils et le samedi à Librairie Passion Automobile rue de Rennes à Paris pour discuter bagnole et dédicacer son ou ses livres.

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Alpina B8 GT : La Der des der

En cette année 2025, le constructeur allemand installé à Buchloe en Bavière fête ses 60 ans d’existence mais ce n’est pas tout puisque le 31 décembre prochain, la firme créée par Burkard Bovensiepen cessera d’être indépendante pour entrée dans le giron de BMW dans le cadre d’un accord signé le 10 mars 2022 avec BMW Group.A partir de janvier 2026, Alpina Burkard Bovensiepen GmbH & Co. KG deviendra membre de l’entreprise BMW mais on ne sait toujours pas à quelle sauce munichoise sera mangé le constructeur de Buchloe. Alpina va t-il devenir une simple griffe « haut de gamme » pour des BMW M hybrides ou électriques ? A moins qu’Alpina ne soit relégué au simple rang de ligne d’accessoires ? Ou pire encore, BMW va t-il purement et simplement « tuer » la marque qui est pourtant partenaire depuis 1962 et la première BMW 1500 préparée par Burkard Bovensiepen.

Toujours est il que pour marquer l’histoire de la marque, célébrer son fondateur, Alpina dévoile la B8 GT Hommage Burkard Bovensiepen basée sur la BMW Serie 8 Gran Coupé. Un « coupé  » 4 portes de grand luxe avec tous les gênes Alpina dedans qui, hélas, signe aussi la fin de six décennies d’exclusivité, de luxe et de sportivité à la façon bavaroise.

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Belle et sportive allure

La B8 GT Hommage Burkard Bovensiepen se différencie des autres Gran Coupé Série 8 par son diffuseur, un bouclier spécifique, fabriqués en carbone, ainsi que ses roues forgées en alliage (modèle Classic) en 21 pouces typiques des Alpina, avec des centres de roue usinés en aluminium. Ces roues sont chaussées de pneumatiques PIRELLI P ZERO en 245/35 ZR21 à l’avant et 285/30 ZR21 à l’arrière.La suspension a été recalibée selon les préceptes Alpina et les modes de conduite Comfort, Sport et Sport+ adaptés aux évolutions de cette B8 GT.On trouve aussi un nouveau silencieux central tandis que la gestion électronique de la transmission envoie plus de puissance aux roues arrière (c’est bien sûr une transmission intégrale). Le différentiel électronique est lui aussi reprogrammé. Selon Alpina, cela offre à la B8 GT plus d’agilité, sans perdre en confort.Vous avez le choix entre sept teintes, et vingt exemplaires seront habillés d’une livrée bicolore bleue et verte associée avec la teinte Noir Saphir. Sachez enfin que pour justifier son appellatiion, cette nouveauté arbore sur les seuils de portes et sous le capot moteur la signature rétro-éclairée (pour les portières), du créateur d’Alpina, Burkard Bovensiepen.

Ci dessous la version bicolore de l’Alpina B8 GT 2025.

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Les 634 ch du plaisir

Sous le capot de cette nouvelle B8 GT Hommage Burkard Bovensiepen on retrouve le « classique » moteur V8 4.4 L Biturbo dans une version légèrement revue qui porte la puissance à 634 ch et le couple à 850 Nm c’est soit 13 ch que la B8 « normale » ch ou 9 ch de plus et 50 Nm de plus que sous le capot de la BMW M8 Competition Gran Coupé. La transmission est assurée par la BVA ZF 8HP76 avec système ALPINA SWITCH-TRONIC qui envoie la puissance aux 4 roues motrices de type xDrive.L’Alpina B8 GT Hommage Burkard Bovensiepen revendique une vitesse maximale de 330 km/h et abat l’exercice du 0 à 100 km/h en seulement 3.3 secondes, ce qui n’est pas mal pour un coupé 4 portes qui revendique un poids de 2.175 kg ou un rapport poids/puissance de 3.43 kg/ch.

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Luxe à la façon souabe

L’intérieur de l’ALPINA B8 GT se veut très luxueux comme c’est toujours le cas chez le constructeur de Buchloe. Chaque surface de l’habitacle (sièges et mobilier de bord) est habillée de cuir de haute qualité mais aussi de parements ou inserts en bois ou d’autres matériaux techniques ou exclusifs. Les tapis de sol et le tapis de coffre ne sont ornés de passepoils en cuir pour une touche d’élégance et de luxe supplémentaire.À l’intérieur, quatre couleurs de cuir Merinos sont proposées ou alors il y a le cuir Lavalina quasiment personnalisable pour plus de luxe et de singularité. En série, la planche de bord est recouverte de garnitures en bois noble Alpina Walnut Anthracite mais sur demande, le constructeur peut proposer d’autres choixAlpina pense aussi au confort avec notamment ciel de toit est habillé d’Alcantara, un matériau luxueux qui contribue également à l’isolation phonique de l’habitacle. Au chapitre des détails de finition, on notera la présence de palettes de changement de vitesse en aluminium gravées avec le nom du modèle « B8 GT » qui ajoutent une touche de sportivité discrète mais pas invisible.

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Cette Alpina B8 GT Hommage Burkard Bovensiepen est fabriquée dans le cadre d’une série limitée à 99 exemplaires. Le prix de base du modèle est fixé à 228.500€ (hors options et hors malus écolo maximal pour le marché automobile français).Au chapitre des options onéreuses, on trouve la peinture bicolore à 11.150€ et la sellerie en cuir Lavalina facturée 19.200€.

Via Alpina.
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DS Automobiles, futur Louis Vuitton de l’auto ?

A défaut d’être le Mozart de la mécanique, la marque automobile française, propriété du groupe Stellantis, rêve d’être le Louis Vuitton de l’industrie automobile si on en croit les propos de Thierry Metroz, le patron du design de la marque. Lors d’un entretien donné lors de l’ouverture du salon de Bruxelles, T. Metroz a déclaré : « Nous sommes désormais premium, mais notre mission est d’être plus que premium. Nous aimerions essayer de toucher au sentiment de luxe. »

Ainsi DS aspirerait à rivaliser avec les firmes prestigieuses que sont Rolls-Royce et Bentley en visant une évolution de sa gamme au-delà du segment premium et vers la sphère du « vrai grand luxe ». DS Automobiles se voit au dessus d’Audi ou de BMW.Même si cela doit prendre une décennie (DS Automobiles sera t-il encore de la partie en 2035 ?), Thierry Metroz assure que la firme dont il est le directeur du design va transcender l’automobile de luxe en imposant sa fameuse « French Touch » .DS Automobiles se rêverait-il en Delage, en Delahaye ou en Voisin de la grande époque ? Pourquoi pas mais la marque en a t-elle les moyens et les capacités au sein du groupe Stellantis. On peut en douter quand on voit ce que sont devenues les marques italiennes Maserati, Alfa Romeo et même Lancia qui, tout juste revenue à la vie, tente déjà d’attraper un peu d’air pour ne pas disparaitre avant d’avoir vendu quelques milliers de la citadine Ypsilon.

Si on en croit le discours officiel, la première matérialisation de ce rêve repose sur une attention ultime apportée aux détails de finition et d’équipement mais quid des groupes propulseurs ?Le gros crossover N°8 annoncerait donc cette philosophie du luxe autoimobile à la française en s’inspirant notamment des standards en vigueur chez Bentley pour ce qui est de la qualité de fabrication et du raffinement de l’habitacle. On a toutefois un peu de mal à suivre les propos de Thierry Métroz pour voir quelque chose de Bentley dans l’habitacle mais l’essentiel est peut-être ailleurs et nous ne l’avons pas encore saisi.

Le designer précie que DS Automobiles ne cherche pas à copier les valeurs installées du luxe automobile mais à créer sa propre identité pour ne pas dire sa singularité. Comme l’utilisation des plateformes partagées au sein du groupe Stellantis est source de contraintes, la marque « premium » assure vouloir miser sur des modifications significatives ou visibles esthétiquement comme l’abaissement des lignes de toit, le recul du pare-brise, des faces avant et arrière massives. Ces choix peuvent se discuter mais ils doivent aussi donner des proportions uniques aux futurs modèles de la marque. Alors qu’au bout de 11 années d’indépendance, DS Automobiles n’a toujours pas explosé les compteurs de ventes, on nous explique que désormais l’objectif principal n’est pas les volumes de ventes, mais plutôt la création de véhicules de très haute qualité, distinctifs, en fait des automobiles réservées aux connaisseurs et aux amateurs de distinction sur quatre roues.

Sachez enfin que le prochain SUV DS 7 et la berline compacte DS 4 vont changer d’appellation pour devenir, sans surprise, DS N°7 et DS N°4 afin d’avoir une identité forte et singulière dans un marché automobile où l’heure est à l’uniformisation des designs des véhicules. On pensera notamment aux style SUV ou aux berlines dites « Fastback » dont les design se sont imposés un peu partout et notamment depuis que la Chine a plus ou moins la main mise sur le marché et puise son inspiration chez Tesla ou chez Porsche.

A suivre ensemble dans les prochains mois et même la prochaine décennie.
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Dacia : Coup de boost sur le prix de la Sandero

Entre fin d’année 2020, année de son lancement et début 2025, c’est à dire en 4 ans la berline d’accès à Dacia a vu son tarif augmenter de quasiment 50% par rapport à son prix initial. Au rythme des hausses successives, des quelques petites mises à jours de sécurité, la Dacia Sandero 65 SCe en finition Essential d’entrée de gamme à vu sa tarification passer de 8.690€ à 12.990€ en ce mois de janvier 2025. Ceci pour une citadine à l’équipement minimaliste (sans climatisation notamment) équipée d’un petit moteur L3 1.0 L de seulement 65 ch.Ce nouveau prix rapproche dangereusement la petite roumaine des tarifs de certains modèles plus récents ou mieux équipés mais surtout à peine plus chers.

Sachez que les autres versions de la gamme Dacia Sandero voient aussi leurs prix augmenter avec une version Expression proposée à partir de 14.700€, une version Journey à partir de 16.950€ et même 19.000€ en version BVA/CVT TCe 90 ch.

Dacia devrait toutefois veiller à ne pas trop monter en gamme de prix sous peine de se couper de sa clientèle et d’un marché sur lequel la marque est bien installée depuis déjà de nombreuses années.

Via Dacia.
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ACEA : Ola Källenius prend les rênes

Nous l’aurions presqu’oublié mais depuis le 1er janvier 2025, l’Association des Constructeurs Européens d’Automobiles a un nouveau président. Il s’agit d’Ola Ola Källenius, le Président du directoire de Mercedes-Benz AG. Il dispose d’un mandat d’une année comme le veut le réglement de l’ACEA. Il succéde à Luca de Meo, directeur général de Renault Group qui a occupé la fonction en 2024.

On notera que 2025 voit le retour du groupe Stellantis et Ola Källenius de dire que cette année l’Acea se concentrera sur l’amélioration des conditions réglementaires, la décarbonation et la promotion d’un commerce international libre et équitable puis d’ajouter :« Je suis convaincu que l’industrie automobile de l’Union Européenne a ce qu’il faut pour réussir dans la compétition mondiale. »

On lui souhaite bonne chance et des résultats probants pour cette mandature notamment dans le fameux bras de fer qui oppose les marques et les états à l’Union Européenne et sa fameuse commission menée par Angela von der Leyen.

Via ACEA.
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Stellantis : Reconnexion

Chez Renault il y a eu la fameuse Renaulution chère à Luca de Meo, chez Stellantis, le nouveau mot d’ordre imposé par Jean-Philippe Imparato, le patron depuis 3 mois de Stellantis Europe (et même un peu plus), est RECONNEXION.

En ce début d’année 2025, le grand groupe automobile semble vouloir se relancer très vite après une année 2024 quelque peu difficile. L’entreprise profite du salon de Bruxelles pour renouer avec la dynamique qui fut sa marque de fabrique entre 2020 et 2023.Jean-Philippe Imparato est présent en Belgique et déroule son programme et attentes pour cette année et il dit :« Mon programme s’appelle Reconnexion. C’est une initiative similaire à celle que j’avais lancée à la sortie du Covid, en 2020, pour relancer la dynamique. Nous en avons besoin à nouveau en 2025, et c’est dans cet esprit que nous travaillons. Tout d’abord, je veux reconnecter avec mes clients. C’est pour ça que nous amenons à Bruxelles toutes nos marques, avec leurs CEO respectifs, présents pour promouvoir leurs offres. On propose un gros lot de nouveautés, avec des lancements de véhicules très compétitifs. Nous avons actuellement environ 43 modèles au catalogue.Le premier enjeu pour moi, c’est cette reconnexion avec mes clients. Ensuite, je veux aussi reconnecter avec mon réseau. Nous procédons pays par pays, de manière très locale. Par exemple, hier soir, avec l’équipe belge, nous avons analysé les résultats du NRM, discuté de la motivation du réseau pour 2025, et identifié des axes de travail comme la couverture garantie, le service client, la politique commerciale, le mix électrique, etc…Tout cela vise à reconnecter avec l’ensemble du réseau, incluant les concessionnaires et les agents. Par exemple, en Belgique, certaines marques dépendent fortement des agents. Sans eux, le travail ne peut être fait correctement. Nous avons établi des objectifs ambitieux. Pour moi, le travail sera fait en Belgique lorsque nous aurons franchi à nouveau les 20% de part de marché. Cela signifie que le plan belge doit permettre ce retour, car c’est vital pour eux comme pour nous. Avec tout ce que nous présentons actuellement, nous savons que nous avons les moyens d’atteindre ces volumes.Le troisième enjeu, c’est de reconnecter avec mes équipes, les employés de Stellantis dans leur ensemble. C’est pourquoi vous voyez une forte présence de nos équipes BtoB, notamment des vendeurs des filiales européennes, au salon de Bruxelles. C’est un effort significatif, car il ne suffit pas de motiver l’extérieur puisqu’il faut aussi motiver l’intérieur.. »

Jean-Philippe Imparato a aussi déclaré qu’un des objectifs prioritaires de Stellantis pour 2025 était de multiplier les versions hybrides sur les modèles de toutes les marques (quid de CAFE 2025 ?) mais aussi dans le même temps de motiver les vendeurs en mettant en place un système de primes sur objectif pour que les commerciaux arrivent à place des voitures électriques aux clients des douze marques concernées par la propulsion électrique, ceci afin d’aider Stellantis à atteindre les objectifs CAFE fixés pour cette année qui prévoit une limite moyenne de 81 g de CO2/km en 2025.Au sujet des VE, JP Imparato a déclaré :« Nous devrons ajuster le positionnement de l’offre électrique pour rester compétitifs, mais sans faire n’importe quoi. Nous avons réduit l’écart de prix par rapport à nos concurrents. Aujourd’hui, nous sommes alignés sur le marché tout en maintenant notre rentabilité. Nous devons aussi équilibrer l’agressivité électrique avec l’agressivité thermique, car c’est ce qui soutient nos volumes. Les décisions de production se prennent rapidement : en janvier, nous confirmons les volumes de mars, et une fois validé, c’est irrévocable. Donc, chaque mois, avec l’aide des responsables de marque, nous ajustons notre production en fonction des commandes. C’est pourquoi Bruxelles est un événement ilmportant pour la Belgique, tout comme les portes ouvertes (OPO) en France ou en Italie. Ces initiatives complètent notre vision pour le premier trimestre. Pour être efficace, il faut pouvoir décider rapidement et c’est ce que nous allons faire désormais. »Enfin, le patron de Stellantis Europe donne son avis retenu et raisonné sur le marché aurtomobile 2025 et de dire :« Je ne vais pas me projeter sur l’ensemble de l’année, car le marché européen reste incertain surtout avec l’évolution (à la baisse ou à la hausse) du mix électrique. Le marché peut rester stable à 15 millions, mais il pourrait aussi descendre à 12 ou 14 millions, selon les tendances, la conjoncture et les analystes. »

Via Stellantis, Auto Infos, AMP.

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Porsche : En 2024, ça allait légèrement moins bien mais ça allait quand même !

Un peu d’auto-satisfaction ou de méthode coué ne saurait faire de mal !Detlev von Platen, membre du directoire des ventes et du marketing de Porsche AG a déclaré :« Dans l’ensemble, nous avons fait preuve d’une grande robustesse en 2024, dans un environnement de marché difficile. Nous avons beaucoup investi dans notre marque et nous sommes heureux de constater que la répartition de nos ventes entre les différentes régions du monde reste très équilibrée. Par ailleurs, le lancement du nouveau Macan nous a littéralement électrifié. Je suis donc particulièrement heureux que plus de 18.000 exemplaires de la variante 100% électrique du modèle aient déjà été livrés aux clients au cours des derniers mois. »Le décor officiel est donc planté, penchons nous sur la réalité des ventes sur les marchés.

Juste une petite baisse de régime mais rien d’alarmant

Le constructeur stuttgartois est resté finalement bien positionné sur les marchés en 2024. Il a livré quelques 310.718 véhicules neuf ce qui correspond à une légère baisse de 3% par rapport à l’année précédente, c’est à dire 2023 qui avait été une année exceptionnelle.

En Europe, sans l’Allemagne, Porsche a livré 75.899 véhicules l’an dernier, soit 8% de plus que l’année précédente. Sur le marché national allemand uniquement quelques 35.858 v éhicules ont été mis à la route en 2024 ce qui représente une augmentation de 11%. Avec 86.541 livraisons, l’Amérique du Nord est à nouveau la plus grande région de vente du constructeur allemand qui y enregistre une augmentation de 1% de ses livraisons par rapport à l’année 2023. En Chine, l’affaire est bien différente puisque la marque a livré seulement 56.887 véhicules aux clients ce qui correspond à une importante baisse de -28 %. Porsche explique officiellement que ce recul est essentiellement dû à la situation économique difficile dans cette région du monde. Malgré cela, Porsche assure s’en tenir à son approche de vente basée sur la valeur et pas exclusivement sur les volumes. On pourra toutefois ajouter que les acheteurs chinois ont depuis 18-24 mois fait aussi le choix de la préférence automobile nationale et cela a bien évidemment un impact sur les ventes. Parlez en aux gens de Volkswagen ou d’Audi !Pour cette année, Porsche assure que l’objectif est d’équilibrer la demande et les ventes. A voir dans douze mois.Les marchés d’outre-mer et émergents ont de nouveau évolué positivement avec une croissance de 6%. Au total, ce sont 55.533 véhicules qui ont été livrés aux clients dans ces régions du monde.

Des modèles et des chiffres

Au début de l’année passée le nouveau Macan électrique es arivé sur le marché. Il a été introduit successivement sur les marchés depuis l’été dernier et à la fin de l’année 2024, ce sont quelques 18.278 exemplaires du modèle qui ont été livrés. Dans la plupart des pays hors Union Européenne, Porsche continue de proposer en parallèle le Macan thermique et ce sont 64.517 exemplaires qui ont été livrés. Au total, Porsche a livré 82 795 Macan en 2024. Il s’agit d’une baisse de l’ordre de 5% par rapport à l’année précédente, qui s’explique par l’arrêt de la production du Macan à moteur à combustion en Europe et l’introduction échelonnée du modèle électrique dans le monde entier.La Porsche 911 a continué de performer sur les marchés en 2024 et, avec 50.941 exemplaires livrés, elle a enregistré une augmentation de 2% de ses ventes par rapport à 2023. Les modèles 718 Boxster et 718 Cayman ont enregistré 23.670 livraisons. Cela représente 15% de plus que durant l’année 2023 mais qu’en sera t-il en 2025 quand les nouvelles versions électriques vont arriver sur les marchés automobiles ?

Au total, 20.836 exemplaires de la berline électrique Taycan ont été livrés aux clients l’année dernière, soit une baisse très importante de 49 %. Porsche precise qu’il y a eu un changement de modèle et une fameuse montée en puissance de la mobilité électrique qui se déroule généralement plus lentement que prévu. On pourra aussi y voir l’effet d’un coup de frein sur les ventes en Chine où la concurrence nationale est féroce et mois chère ! Le Cayenne renouvelé en 2023 est devenu le best-seller des six lignes de modèles de Porsche en 2024. Ainsi ce sont quelques 102.889 unités qui ont été livrées aux clients ce qui rperésente une hausse de 18% par rapport à l’année précédente. La Panamera a représenté 29.587 livraisons soit une baisse de 13 % pour ce modèle qui s’explique principalement par la baisse de la demande pour la berline de luxe sur le marché chinois.

Le cap est mis sur 2025 et la personnalisation

Si Porsche apparait plutôt confiant pour cette année 2025, le constructeur dit s’attendre à ce que les conditions économiques et géopolitiques le mettent plus que jamais à l’épreuve des marchés durant les 12 prochains mois. La marque allemande se veut toutefois rassurante en affirmant que son objectif est de se renforcer davantage à l’échelle mondiale et d’exploiter au mieux le potentiel du marché automobile de la planète. Detlev von Platen de dire :« Nous travaillerons et nous le ferons en fonction de la demande dans les différentes régions afin de rester fidèles à notre principe de vente basée sur la valeur à l’avenir plus que sur les volumes. »

Sachez enfin que Porsche explique que les clients, plus que jamais, personnalisent leurs véhicules neuf et complètent l’équipement de série selon leurs souhaits personnels via les accessoires, options et les services de personnalition de la marque Porsche Exclusive Manufaktur et Porsche Sonderwunsch.

Via Porsche.
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Toyota Urban Cruiser : Il revient mais change de motorisation

Plus d’une décennie après sa disparition du marché automobile européen, le SUV Urban Cruiser fait son retour sur le vieux continent.S’il reste un SUV au gabarit contenu, le nouveau Toyota Urban Cruiser se défait de son moteur thermique d’alors pour s’équiper d’une nouvelle motorisation électrique alimentée par une batterie.

Un style solide mais connu

Dessiné autour du thème Urban Tech, le nouvel Urban Cruiser présente une face avant qui reprend la forme dite « Hammerhead », élement emblématique du design actuel du constructeur japonais.A l’arrière, on note que les feux s’étendent sur toute la largeur du hayon, puis s’étirent sur les ailes du SUV comme c’est le cas pour d’autres modèles de la marque. L’allure est solide, presque massive et nous rappelle le tout récent SUV Suzuki e-Vitara avec lequel cet Urban Cruiser 2025 partage beaucoup de choses.Toyota signale enfin que cette nouveauté est à peine plus longue que le best seller Yaris Cross puisque ce SUV revendique les dimensions suivantes (similaires à celle de l’e-Vitara) à savoir 427 m de long, 180 m de large, et 1,63 m de haut, le tout sur un empattement long de 2.70 m.Les dimensions extérieures de l’Urban Cruiser sont légèrement supérieures à celles de la Yaris Cross mais son rayon de braquage réduit de 5.2 m le prédispose aux manœuvres en milieu rubain.Selon les versions, le poids de l’Urban Cruiser devrait être compris entre 1.700 et 1.900 kg.Pour le détail, les amateurs auront remarqué que les roues (noires…) en alliage sont identiques à celles de la version Suzuki. Marge et bénéfices quand vous nous tenez !

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Avec plusieurs batteries, plusieurs puissances et deux transmissions

Comme le cousin Suzuki e-Vitara, ce Toyota Urban Cruiser est construit sur une nouvelle plateforme dédiée aux véhicules 100% électriques. La conception de la structure évite le recours aux traverses dans le plancher, libérant ainsi plus d’espace pour accueillir la batterie sans compromettre l’habitabilité et sans avoir trop l’impression, visuellement s’entend, de faire rouler un fer à repasser. Le SUV Toyota sera proposé avec plusieurs moteurs électriques, deux batteries de 49 ou 61 kWh qui bénéficie de la technologie lithium-fer phosphate (LFP) et il existera avec deux types de transmission.La batterie de 49 kWh sera disponible exclusivement dans l’Urban Cruiser FWD en association avec un moteur de 106 kW (144 ch) et 189 Nm de couple.L’Urban Cruiser FWD sera également proposé avec la batterie de 61 kWh associée à un moteur plus puissant de 128 kW (174 ch) avec un couple de 189 Nm.Toujours avec la batterie de 61 kWh, il sera proposé avec une transmission intégrale. Cette version dispose d’une puissance à 135 kW (184 ch), 300 Nm grâce à un moteur supplémentaire de 48 kW (65 ch) installé au niveau de l’essieu arrière. Cette version AWD est équipée du système Downhill Assist Control ainsi que des modes de conduite « Trail » et « Auto » pour une assistance supplémentaire dans des conditions de roulage glissantes.

Selon les version, ce Toyota Urban Cruiser devrait annoncer des autonomies WLTP comprises entre 300 et 400 km environ.

Toyota Urban Cruiser 2025Toyota Urban Cruiser 2025Toyota Urban Cruiser 2025Toyota Urban Cruiser 2025

Un espace à voyager très Toyota

A bord de l’Urban Cruiser, on retrouve sans surprise le même mobilier de bord et le même combiné de bord qui intègre un écran de 10.25 pouces (26 cm) pour le conducteur et un écran multimédia de 10.1 pouces (25.65 cm) dans un même panneau.

L’empattement de 2.70 m permet d’offrir un habitacle spacieux et il a autorisé l’installation d’un système de sièges arrière coulissants pour disposer de plus ou moins de place à l’arrière ou dans le coffre.Les smartphones se connectent au système via les systèmes Apple CarPlay et Android Auto.Le noir domine dans l’espace à voyager mais l’ensemble semble de bonne facture si on en juge par les photos. Le constructeur japonais nous précise que les finitions supérieures de l’Urban Cruiser bénéficieront d’équipements exclusifs ou plus « huppés comme une caméra à 360°, un système hifi JBL et le réglage électrique du siège conducteur. Un toit vitré fixe sera également proposé selon les versions et niveaux de finition.Enfin, un éclairage d’ambiance intérieure est proposé avec 12 couleurs différentes pour s’adapter à votre humeur du moment.

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A revoir dans quelques semaines au moment de son arrivée sur le marché automobile en espérant que ce modèle aura plus de succès que le bZ4X.

Via Toyota.
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Honda 0 Series : L’électrique avec style

Honda a profité cette semaine du CES Las Vegas pour présenter en première mondiale deux modèles de la Série 0, la Saloon Série 0 Honda et le SUV Série 0 Honda.Deux nouveautés qui ne manquent pas d’intéret ni même d’un certain charme esthétique.

La Honda Saloon 0 Series qui est une évolution de la version dévoilée il y a un an, conserve le design du modèle conceptuel tout en installant un design quasi sportif et une faible hauteur qui ne nuit pourtant pas à un habitacle spacieux prévu pour 4 passagers. Les amateurs de voitures auront aussi remarqué que le nez du modèle 2025 a un petit air de celui de la Lamborghini Gallardo. Plutôt sympathique en soit et peut être annonciateur d’une berline électrique sportive et jolie. Pour ceux qui font attention aux détails, sachez que la Honda Saloon 0 Series profite de paupières de phares mobiles en fonction de l’éclairage.

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Créé sur la base du modèle Space-Hub dévoilé lors du CES 2024, voici le prototype d’un SUV électrique de taille moyenne baptisé provisoirement SUV 0 Series. Il sera, selon le constructeur, le premier modèle de la Série 0 Honda et devrait arriver sur le marché américain en 2026.Selon Honda, le SUV 0 Series offre une approche qui associe élégance, légèreté et intelligence avec notamment un espace intérieur spacieux, clair flexible selon les besoins.

Honda profite de la présentation de ces deux véhicules et plus particulièrement du SUV pour présenter une large gamme de technologies de nouvelle génération. Ainsi le SUV Série 0 offrira à son conducteur une estimation de l’attitude et un contrôle de la stabilisation de haute précision. Ces fonctions sont basées sur des capteurs gyroscopiques 3D, une technologie créée par Honda grâce au développement de ses technologies robotiques originales (merci ASIMO !) afin d’activer les fonctionnalités dynamiques du véhicule sur divers types de chaussée à la demande du conducteur ou de manière automatique. Ces nouveautés technologiques inclues notamment la conduite autonome de Niveau 3, particulièrement fiable selon la marque puisque déjà mise en pratique pour la première fois au monde en association avec l’ASIMO OS. Honda ajoute que l’optimisation « ultra-personnelle » de cette conduite de Niveau 3offrira une expérience de mobilité sur mesure à chaque utilisateur de ses futurs véhicules électriques. A voir dans la réalité !

Sachez aussi que les versions de production de la Saloon et du SUV Série 0 devraient être lancées sur le marché nord-américain en 2026, puis sur les marchés mondiaux, dont le Japon et l’Europe en 2027 si tout se passe bien et comme Honda l’a prévu.

Via Honda.
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